LES COULISSES DU SHOOTING PHOTO
Et c’est ainsi que nous sommes partis en Normandie…
La question, c’était, sortir de Paris, s’évader à la campagne, et raconter l’histoire de KOOL.
Deux fois par an, la création photo s’opère. Et c’est grâce à ma compère de toujours Lucie Sassiat, une as de la photo, un génie de la lumière ( c’est pas pour rien qu’elle s’appelle Lucie, ça veut dire lumière dans toutes les langues) et une âme créative complice.
Arriver à faire ressentir ce que l’on a envie par l’image, ce n’est pas trois clic, c’est de l’énergie, du rêve et de la poésie. Alors, ça passe par une grande conversation. Généralement, voici notre mode opératoire… On se retrouve avec Lucie dans un café, de préférence au soleil en terrasse et elle me pose des questions intimes.
La question, c’était, sortir de Paris, s’évader à la campagne, et raconter l’histoire de KOOL.
Deux fois par an, la création photo s’opère. Et c’est grâce à ma compère de toujours Lucie Sassiat, une as de la photo, un génie de la lumière ( c’est pas pour rien qu’elle s’appelle Lucie, ça veut dire lumière dans toutes les langues) et une âme créative complice.
Arriver à faire ressentir ce que l’on a envie par l’image, ce n’est pas trois clic, c’est de l’énergie, du rêve et de la poésie. Alors, ça passe par une grande conversation. Généralement, voici notre mode opératoire… On se retrouve avec Lucie dans un café, de préférence au soleil en terrasse et elle me pose des questions intimes.
Alors qu’as-tu encore inventé ? c’est quoi l’histoire que tu veux raconter? Tu as pensé à quoi quand tu as créé cette collection ? Quelles femmes pourraient incarner cette histoire ?
J’adore la qualité de son écoute, la pertinence de ses questions, toujours justes. Parfois monte une émotion que je lui exprime avec des onomatopées, des expressions du visage…
Bon ce qui est pratique c’est qu’elle me lie comme un livre ouvert. Alors, j’articule ma pensée. Et le premier mot qui est sorti, c’est SORORITÉ ! Cela a fait échos à notre histoire, à nos années d’amitié et à notre relation créative qui nous propulse dans un autre rapport, plus fort !
Partager la différence, la confidence, l’indulgence, les doutes, c’est ce que renvoyait ce terme enfin d’actualité. La Sororité, c’était ce que je voulais exprimer avec Kool.
J’adore la qualité de son écoute, la pertinence de ses questions, toujours justes. Parfois monte une émotion que je lui exprime avec des onomatopées, des expressions du visage…
Bon ce qui est pratique c’est qu’elle me lie comme un livre ouvert. Alors, j’articule ma pensée. Et le premier mot qui est sorti, c’est SORORITÉ ! Cela a fait échos à notre histoire, à nos années d’amitié et à notre relation créative qui nous propulse dans un autre rapport, plus fort !
Partager la différence, la confidence, l’indulgence, les doutes, c’est ce que renvoyait ce terme enfin d’actualité. La Sororité, c’était ce que je voulais exprimer avec Kool.
Direction, la réflexion. Quel cadre, quelles personnes allaient donner naissance à cette collection ?
Pour la petite histoire…. Un jour j’ai croisé une belle âme rousse dans le métro, j’ai osé l’interpeler pour l’inviter au défilé, dégainé une carte de visite et puis pouf … carte égarée… chassé croisé !
En cherchant celles qui incarneraient la collection, je me suis baladée sur Instagram et là qui vois-je ? Claire Francès, le lien était raccommodé.
Pour la petite histoire…. Un jour j’ai croisé une belle âme rousse dans le métro, j’ai osé l’interpeler pour l’inviter au défilé, dégainé une carte de visite et puis pouf … carte égarée… chassé croisé !
En cherchant celles qui incarneraient la collection, je me suis baladée sur Instagram et là qui vois-je ? Claire Francès, le lien était raccommodé.
Mais qui allait devenir sa partenaire de jeu ? Lucie m’avait conseillé de regarder le profil de Mathilda Galmot, coup de coeur, boom, boom. Nous prenons un long moment pour échanger par téléphone, la connexion est là.
J’appelle Lucie, » ça y est je crois que nous tenons une très belle histoire de SORORITÉ » . Et elle s’est réalisée, sur le shooting bien sûr. Mais surtout après, car Mathilda et Claire ont tissé des liens et l’amitié est née.
J’appelle Lucie, » ça y est je crois que nous tenons une très belle histoire de SORORITÉ » . Et elle s’est réalisée, sur le shooting bien sûr. Mais surtout après, car Mathilda et Claire ont tissé des liens et l’amitié est née.
Notre fine équipe pouvait prendre le chemin de la Normandie, composée de talents tous féminins, à l’exception de l’homme de la situation Ambroise, mon cher associé dont la passion pour l’image n’est plus à démontrer. Ses photos backstage à l’appui.
Nous voilà donc partis pour écrire cette histoire Kool que l’on vous distille chaque jour avec parcimonie tant elles sont précieuses et porteuses de sens à nos yeux d’enfants.